Astuces sexuelles : L’impératif des préliminaires.
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- 5 juin 2022
Frustrées et incomprises, elles revendiquent des préliminaires, pour le développement de leur plaisir sexuel.
Selon de nombreuses femmes, cette étape est nécessaire et primordiale pendant l’acte sexuel. D’ailleurs, pour Rose, la trentaine sonnée, nouvellement mariée : “Je suis généralement excitée pendant ma période féconde. Les autres fois où je fais l’amour, il est difficile d’éveiller mon désir sexuel. Et pendant le rapport sexuel, il faut que mon compagnon me fasse préalablement le cunnilingus, pour que je sois excitée ”.
Comme elle, la plupart des femmes ont besoin des préliminaires plus ou moins intenses, afin d’éprouver du plaisir pendant l’acte sexuel.
De l’avis des spécialistes, cette étape est particulièrement importante pour les femmes chez qui la montée de l’excitation est beaucoup plus lente. Car, elle permet de préparer le corps à l’acte sexuel, avec excitation, tendresse et affection.
Ces préliminaires renforcent également la complicité entre les partenaires, et permet une réelle fusion dans le couple. « Avant chaque rapport, je demande toujours à mon mari de me faire des câlins, de m’embrasser partout, afin que je m’abandonne totalement à lui. Il doit m’emmener à le désirer » : affirme discrètement Vanessa.
Que ce soit pour les femmes ou pour leurs conjoints, les préliminaires représentent une étape cruciale dans l’acte sexuel. Ceux-ci permettent en effet de préparer le corps à bien accueillir l’acte sexuel, dans le but d’atteindre l’orgasme.
Cependant, plusieurs spécialistes établissent des rapprochements entre l’orgasme, ou le désir sexuel, à certaines positions pendant l’acte sexuel.
À cet effet, selon le Dr Catherine Solano, médecin sexologue : « certaines positions utilisées pendant l’acte sexuel donnent plus de plaisir à cause de l’anatomie de l’homme, ou de la femme. Mais, généralement, c’est à chacun d’explorer les différentes postures, afin d’expérimenter et de découvrir celles qui procurent le plus de plaisir. Il y a des postures par exemple qui peuvent s’avérer désagréables, voire même douloureuses, tout simplement parce qu’elles ne correspondent pas à l’anatomie de l’homme ou de la femme ».
Tatie Essa
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