L’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), organise et co-préside de nombreuses réunions de haut niveau, ainsi que des événements parallèles, à la COP16 à Riyad.
Avec le Cameroun notamment à travers le Ministère de l’Environnement, de la Protection de la nature et du Développement Durable (MINEPDED), la FAO a en partage, entre autres la préoccupation du financement de la restauration et de la résilience à la désertification.
Les deux partenaires ont alors pesé de leur poids lors du dialogue ministériel de haut niveau sur la finance, qui s’est tenu le deuxième jour de cette COP16.
Selon cette structure Onusienne : « la restauration des terres agricoles dégradées nécessite un leadership politique urgent, des investissements massifs et des actions concertées. Sans la restauration des terres agricoles, la réalisation des objectifs mondiaux de Neutralité en matière de Dégradation des Terres (NDT), de biodiversité, de changement climatique et de faim zéro ne sera pas possible ».
Une position qui rejoint étroitement les propos du Ministre Camerounais de l’Environnement, Hele Pierre, qui avait déjà affirmé qu’un ensemble de mesures politiques, financières, juridiques et communicationnelles étaient nécessaires pour relever les défis liés à la restauration des terres et à la lutte contre la désertification.
Souce Celcom Minepded.
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