Du rêve à la réalité, c’est bientôt la fin du calvaire des populations de cette partie du cinquième arrondissement de la ville de Yaoundé. Un projet financé par la banque mondiale et piloté sur le terrain par le ministère de l’habitat et du développement urbain, à travers son programme de développement des villes inclusives et résilientes (PDVIR).
Le chantier principal de la construction de la route de Nkolmesseng, est enfin entré dans une nouvelle phase. En ce sens que depuis le 3 mars 2023, l’entreprise en charge des travaux procède à la pose de la couche de roulement en béton bitumineux, sur l’une des sections située non loin du carrefour du Lycée bilingue d’Essos, au point kilométrique zéro.
Pour l’instant, ces travaux se concentrent sur un côté de la chaussée, rendant ainsi la circulation beaucoup plus aisée, sur un linéaire de près d’un kilomètre.
La Communauté urbaine de Yaoundé, qui assure la Maîtrise d’ouvrage déléguée de ce chantier affirme que les travaux vont s’intensifier sur les autres sections de ce chantier qui va du Carrefour Lycée bilingue à la station Tradex Eleveur, en passant par le carrefour Momebelengal.
Parallèlement, les travaux d’assainissement se poursuivent à travers la construction des dalots et la pose des caniveaux de drainage le long dudit chantier.
Ainsi, les travaux de ces derniers jours laissent entrevoir ce que sera l’axe Nkolmesseng dans les tout prochain mois. Comme prévu au démarrage de ces travaux, par madame le ministre de l’habitat et du développement urbain, Célestine Ketcha Courtès, suivant le cahier de charges et la consistance des travaux à exécutés, petit à petit, le projet de construction de la route de Nkolmesseng devient une implacable réalité, au grand bonheur des populations de la ville de Yaoundé, qui saluent au passage cette autre grande réalisation concrète et palpable du président de la République, Paul Biya, qui dit ce qu’il fait et qui fait ce qu’il dit. Il promet et réalise. Surtout avec l’engagement personnel et la détermination irréversible de son bulldozer du développement urbain, Célestine Ketcha Courtès.
Source Celcom PDVIR
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