Cameroun – Emplois jeunes : Mounouna Foutsou échange avec la banque mondiale
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- 28 mars 2021
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Le ministre de la jeunesse et de l’éducation civique (Minjec), Mounouna Foutsou, a reçu en audience virtuelle, le 26 mars 2021 à Yaoundé, l’équipe de la mission d’identification du projet d’inclusion économique et d’emploi des jeunes de la Banque mondiale, conduite par Abdoulaye Seck.
Suivant les éclairages du Directeur des opération de la Banque mondiale au Cameroun, par ailleurs Co-organisateur du projet d’inclusion économique et d’emploi des jeunes de la Banque mondiale, Abdoulaye Seck, accompagné de Carine Cléry, Milène Rosalani, Joseph Bessong et de Jean Michel Lobè, l’institution financière internationale entend s’investir davantage au Cameroun dans les volets concernant l’autonomisation des jeunes, la création d’emploi, l’inclusion économique, l’amélioration des conditions de vie des personnes vulnérables, la protection sociale, l’atténuation des risques des éléments de conflits et la cohésion sociale. Et cet échange stratégique avec le minjec, visait beaucoup plus à revisiter les différents axes d’intervention du ministère de la jeunesse et de l’éducation civique, à travers les actions, projets et programmes en faveur des jeunes, susceptibles de bénéficier d’un l’accompagnement.
Assisté pour la circonstance de ses plus proches collaborateurs, à savoir la Dag, la Divapj, la Dep et la Dpej, entre autres, Mounouna Foutsou, en a profité pour égrainer le chapelet de programmes opérationnels dans son département ministériel. De l’Observatoire national de la jeunesse, au Plan d’urgence triennal spécial jeunes, passant par le programme national de volontariat, le Youth connect, les Centres multifonctionnels de promotion des jeunes, qui sont des véritables incubateurs, des outils d’orientation, d’encadrement et de renforcement des capacités des jeunes.
Une batterie de mécanismes mise en place par le gouvernement, qui a réussi à séduire ces émissaires de la Banque mondiale, qui ont immédiatement pris l’initiative d’accompagner cette vision du Minjec, à travers l’identification des jeunes diplômés du secondaire et du supérieur, des jeunes entrepreneurs, avec un accent particulier sur les femmes notamment, en leurs offrant des formations adéquates pour toutes éventuelles employabilités et insertion professionnelle. D’ailleurs, cette collaboration avec la Banque mondiale est vivement saluée par le patron du Minjec, qui promet ne ménager aucun effort pour la concrétisation de ces plans d’actions en faveur de la jeunesse camerounaise.
Samuel Bondjock
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