Il s’agit d’un médicament africain, mis sur pied par le Dr Marlyse Paule Peyou Ndi Samba, pour lutter efficacement contre le Coronavirus. Après avoir fait ses preuves au Cameroun et partout ailleurs, le Ngul be tara est aujourd’hui adopté et homologué par les autorités nigérianes.

En effet, le pays de Muhamadu Buhari, après plusieurs vérifications cliniques, a validé le traitement de la biochimiste camerounaise, Dr Marlyse Paule Peyou Ndi Samba, experte en santé publique, enseignante à la Faculté de médecine et des sciences biomédicales (FMSB) de l’université de Yaoundé 1, par ailleurs Directrice de Reece international research consortium (RIRCO). Avec autorisation d’installer un laboratoire et usine de production à Abuja au Nigéria. Une reconnaissance internationale pour ce médicament africain qui a fait ses preuves, en dépit de toutes les contraintes occidentales, qui tentaient de vilipender cette découverte endogène, inspirée par la richesse de la biodiversité africaine. Malgré la mauvaise campagne médiatique orchestrée par les officines occidentales pour ternir l’image de ce traitement africain, les faits parlent d’eux-mêmes, plusieurs malades de Coronavirus ont trouvé la guérison à l’aide de ce Ngul be tara, qui signifie en langue locale « la force des ancêtres ».

Depuis la survenue de cette pandémie en 2019, plusieurs médecins traditionnels ont proposés des solutions endogènes à base des plantes et de la pharmacopée africaines. Et le Dr Peyou Ndi Samba en a été l’un des défenseurs acharnés des droits de cette médecine traditionnelle, qui fait ses preuves en Afrique depuis plusieurs millénaires. Ainsi, suite à la décision du ministre de la santé publique du Cameroun, Manaouda Malachi, du 16 juillet 2021, d’homologuer certains traitements locaux parmi lesquels, Corocur poudre du Dr Yabgnigni, Adsak-Covid et Elixir-Covid de Monseigneur Samuel Kleda, Soudicov plus de l’imam Modibo, et Palubek’s de madame Christine Bekono, le Dr Marlyse Paule Peyou Ndi Samba a vertement contesté le terme adjuvant utilisé pour qualifier ces médicaments. Car pour la biochimiste, experte en santé publique, elle se pose la question de savoir ce qu’on entend par adjuvant dans ce cas d’espèce. « S’agit-il d’une molécule ou d’une substance qui accompagne un traitement validé ? Cela veut donc dire que les molécules qui ont été validées ne sont pas assez bonnes pour soigner le Covid-19 toutes seules. Pour moi, en tant que biochimiste et experte en santé publique, je trouve que c’est une façon de torpiller la médecine traditionnelle. Car, à bien comprendre, les molécules homologuées ne sont pas des molécules qui soignent la Covid-19. Et ceci n’est en rien une reconnaissance pour la pharmacopée africaine » : précise le Dr Peyou.

C’est fort de ses machinations occidentales que le Ngul be tara, a réussi à franchir les limites de toutes ces contraintes exogènes, pour se positionner comme un médicament homologué contre le Coronavirus, à travers plusieurs laboratoires africains. Et le séjour du Dr Peyou Ndi Samba, au Nigéria, au regard des audiences de haut niveau avec les autorités de ce pays, qui représente la puissance africaine, témoigne de la crédibilité de ce médicament. Et sur haute instruction, un laboratoire de production du « Ngul be tara » du Dr Peyou Ndi Samba, est en cours d’implantation à Abuja Nigéria, avec l’appui des partenaires locaux. Ainsi se porte la médecine traditionnelle sous les tropiques.

                                                                     Samuel Bondjock

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